La tristesse englue. Elle pèse derrière chaque paupière. Spleen, mélancolie, tout est plus fluide que cette putain de tristesse collante.

1 commentaire:

Mathurine Pol a dit…

Julia Kristeva dit "Je suis sûre, en tout cas, que pour moi il n'existe pas d'autre bonheur que celui de faire le deuil du malheur. Une sorte de joie doublée d'une douleur dont tu n'entendras pas le cri. Seulement le sourire qui la traverse puisque la vie a vaincu encore une fois. Et que l'énergie du cri s'est transcendée en une mobilisation permanente pour repousser le plus loin possible les limites du "normal", en créant les conditions d'une créativité optimale". Leur regard perce nos ombres.